15/01/2015
Disparu, au coin de la rue
Vu : moi même (je m'auto nomme Miss Cata à tous les étages), et ma copine frisé en train d’escalader le portail de notre prison (sans rire, ce bahut est pire qu'Alcatraz), pour pouvoir rentrer chez nous.
Vous me direz : "Ouah le scoop", mais vous ne connaissez pas encore le fin mot de l’histoire. Trente petites racailles, qui font la honte de la France, entourant une fille au grand front.
Hum, hum, cette horrible jeune fille me fait penser à quelque chose.
Ah oui j'ai trouvé, le mec que j'ai embrassé cette été, à voulu devenir son gus de compagnie. Rancœur, rancœur... Plus maintenant que je sais qu'elle retouche ses photos de profils, possède un corps de phasme, et porte des Stan Smith qui lui font des pieds géant. S'il me préfère à un front sur patte grand ben lui fasse.
Bref, je suis toujours perché du haut de mon portail, quand je les vois tous débarquer. J'ai tout de suite su qui s'était et pourquoi ils venaient ici : pour casser la gueule au mec (Qui se la pète carrément, et qui en vérité est une petite lopette. Je le haïs. Mais 30 contre 1 con, ça ne joue pas en sa faveur) qui as malencontreusement fait des suçons a grand front, profitant qu’elle soit bourrée au nouvel an, charmant.
Sauf que là c'était moi et ma pote chevelue, face à eux. Fameux. Naïve comme à son habitude, ma copine me cri : "Regarde, ils sont venus nous emmener les clés". La pauvre n'a rien compris car en moins de deux je retournais vers Alcatraz, me faisant huer par les gardes du corps de grand Front.
Sinon, depuis quelque jour, une de la bande parfaite, avec qui je fus plus que proche, à de nouveau de l’intérêt à mon égards.
Je me suis laissé entrainée dans un paris débile ou je devais porter le pull des Bronzés font du ski si la chevelue portais ses chaussettes hautes Lenny Kravitz. Charmant.
Bien à vous, L.
